Vitalité et anesthésie
Une réflexion a émergé dans nos échanges (notamment de la part de Pascal) et me semble mériter qu’on s’y attarde : celle d’un possible continuum entre vitalité et anesthésie, non pas au sens médical, mais pédagogique voire institutionnel.
La vitalité comme ce qui relie, engage, rend actif.
L’anesthésie comme ce qui isole, dévitalise, coupe du sens.
Peut-on penser la robustesse comme une forme de résistance à l’anesthésie ?
Comme la capacité à rester vivant de manière individuelle et collective face aux logiques qui neutralisent l’engagement ?
Je serais curieuse de savoir comment ces notions résonnent pour vous, et si elles trouvent un écho dans vos contextes :)