Des lieux existent déjà où des formes de gouvernance plus souples, inclusives, ou non linéaires se dessinent. Des services coopèrent différemment, des rythmes s’ajustent, des initiatives locales s’essaient. Avez-vous vécu ou observé de telles pratiques dans votre université ? Quels effets ont-elles eus ? Quelles marges de manœuvre existent, ou pourraient s’ouvrir ?
Nous vous invitons à témoigner : dans votre quotidien universitaire, où percevez-vous ces dynamiques ? Où font-elles défaut ? Qu’est-ce que cela change, pour vous, de penser l’institution comme une structure robuste au sens d'Olivier Hamant ? Racontez-nous vos expériences, aussi modestes soient-elles.